Qui sommes-nous

  1. Réflexions préliminaires:

Nous ne pourrons jamais résoudre les problèmes de la planète et pacifier le monde à coups de sanctions à tout bout de champ, par le recours à la force (les guerres) et les menaces d’usage de la force, par l’interdit, la répression, les contraintes inutiles et les restrictions intempestives des libertés, ni même avec les prêches du religieux et les conseils du moraliste, tant que les vrais problèmes n’auront été résolus à la base. 

Pour pouvoir sortir des « temps primitifs » et de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial et espérer pouvoir enfin stopper la guerre d’Ukraine, régler le conflit israélo-palestinien et aplanir les autres foyers de tensions à travers le monde (comme la guerre à l’Est de la République du Congo-Zaïre), nous devons, au départ, comprendre ce qui suit : 

  • Le conflit ukrainien, le conflit israélo-palestinien et tous les autres foyers de tensions à travers la planète ne sont que la partie visible de l’énorme iceberg que représente le désordre actuel du monde politique et socio-économique, un désordre intellectuel essentiellement (l’« anarchie intellectuelle », d’après Auguste COMTE), qui ne relève nullement du mal prétendu enraciné en l’homme, ni d’une quelconque faillite morale de sa part. Tant que les causes profondes de ce désordre n’auront été identifiées pour être globalement jugulées, aucune solution, réellement harmonieuse et durable, ne pourra être apportée à tous ces conflits, sachant, en outre, que le monde n’est, jusqu’ici, qu’une « jungle », dans laquelle règne l’« arbitraire » et prime la « loi du plus fort » et où chaque nation se fait justice à sa manière, par la force et par l’intimidation, en appliquant, avec constance, ce principe inique, « le deux poids deux mesures », avec un ordre mondial à géométrie variable et une justice internationale à deux vitesses !
  • En matière de recherche de la paix, en son sens le plus large, qui inclue l’« ordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique, l’être humain est – au stade actuel de l’évolution de la connaissance de l’humanité en matière d’« ordre et de désordre » – comparable à un médecin qui soigne un malade, mais n’a, jusqu’ici, pas encore posé le bon diagnostic ! C’est ce qui, essentiellement, explique le fait qu’il y ait si peu de résultats dans notre engagement en matière de sécurité et de paix, ainsi que dans nos choix et stratégies dans la recherche du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique.
  • En l’absence du « bon diagnostic » dans la problématique de la recherche de la paix, tout notre problème se situe dans l’ignorance, par l’ensemble de l’humanité (du moins dans l’opinion commune, au stade actuel de l’évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre »), des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’ordre dans le monde, à cause de l’« IMMATURITE RELATIVE DE L’HUMANITE » – dans un monde en perpétuelle organisation, sachant que la perfection ne sera jamais atteinte – immaturité relative de sa conception du monde, de l’être humain et de la société, immaturité de sa science et de sa technologie, en général, et des connaissances en matière d’« ordre et de désordre », en particulier, (1) à la suite de l’ignorance de la cause fondamentale d’absence de l’ordre dans le monde politique et socio-économique, qui n’est nullement le mal prétendu enraciné en l’homme, ni une quelconque défaillance morale de sa part, (2) en raison de l’influence négative des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » sur nos choix et stratégies dans les affaires politiques, sociales, économiques, monétaires, culturelles et dans la lutte contre le réchauffement climatique. 

C’est précisément par l’ignorance des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’ordre dans le monde que l’humanité perpétue le système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète, hérité de l’époque de la « guerre froide », d’alliances politico-militaires particulières et continue à recourir systématiquement, jusqu’ici, aux méthodes archaïques, barbares, non efficientes et contreproductives des « temps primitifs » que sont les sanctions, les embargos, les blocus et les boycotts, l’isolement et l’exclusion, le recours à la force (les guerres) et les menaces d’usage de la force, les frappes préventives (un terrorisme d’État) et les invasions militaires, l’interdit et la répression, les restrictions intempestives des libertés et les contraintes inutiles, dans la gestion de l’ordre mondial et à l’intérieur de nos différents pays, à cause de son « immaturité relative », par rapport à sa conception du monde, de l’être humain et de la société. Et, ce n’est – fondamentalement – la faute de personne. Ce n’est la faute, ni de la gauche ni de la droite, ni de l’Est ni de l’Ouest, ni du Nord ni du Sud ! Tout s’explique par l’« IMMATURITE RELATIVE DE L’HUMANITE », immaturité des connaissances en matière d’« ordre et de désordre » essentiellement et dépendra plus de l’évolution des idées, en matière d’« ordre et de désordre », que du cours des événements politiques, avec un changement radical d’approche, de stratégie et de méthodes.

Il n’y a pas de solution militaire à la guerre d’agression lancée par la Russie contre l’Ukraine ! Les guerres d’aujourd’hui ayant changé de causes et de nature, il est douteux qu’elles soient gagnées par l’outil militaire ! Ceux qui parlent de victoire d’un camp sur un autre, ont-ils vraiment réfléchi ? Quel en sera le scénario ? Pour vraiment parler de victoire, il faudra qu’une armé (celle de l’Ukraine ou celle de la Russie) occupe l’intégralité du territoire du camp opposé et assujettisse totalement et indéfiniment sa population ! Même en cas de victoire d’un camp sur un autre – ce qui est peu probable – le conflit ukrainien aura-t-il, pour autant, été résolu ?  

Toutes les guerres engagées, ces derniers temps, dans certains pays ou contre certains États, avec ou sans mandat de l’ONU, se sont presque toutes soldées par de cuisants échecs, particulièrement dans leurs conséquences, comme dans les désastreuses aventures militaires du Vietnam, de Somalie, d’Irak et de Lybie, avec, dernièrement, ce fiasco retentissant en Afghanistan, 20 ans après ! La guerre russo-ukrainienne ne fera pas exception ! 

Les décideurs du « camp de l’Occident » ne doivent pas avoir la mémoire courte ! Ce n’est pas parce qu’ils arment si lourdement les ukrainiens que Kiev va nécessairement gagner cette guerre qui – à vrai dire – ne connaîtra la victoire d’aucun des deux camps ! Les occidentaux doivent le comprendre, car leur soutien militaire aux ukrainiens n’a malheureusement pour effet que d’éterniser cette guerre inutile – qui ne sera gagnée par aucun des deux camps – et de nous éloigner de la vraie solution qui ne peut être que politique et impartiale, là où la diplomatie de la canonnière ne fait qu’exacerber les horreurs et les affres de la guerre ! Le  recours aux missiles occidentaux à longue portée ne va qu’envenimer la situation et accentuer la brutalité et les atrocités de cette guerre inutile, qui doit plutôt être simplement stoppée ! 

Une guerre d’agression a déjà été lancée par la Russie contre l’Ukraine. Le vin est tiré… Tout dépend aujourd’hui de la réponse des occidentaux, soit l’éterniser, soit l’arrêter, avec – même simplement sur le papier d’abord, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale » – une réponse qui soit en mesure d’apporter une solution harmonieuse au conflit ukrainien et de créer un climat de détente et de confiance mutuelle, non seulement dans le continent européen, mais à l’échelle de toute la planète, sans diaboliser et sans isoler la Russie, pour ne pas diviser le monde. 

La Russie n’est pas le premier pays, membre permanent du « Conseil de Sécurité », à avoir violé le droit international, en envahissant un État souverain ces dernier temps (On pourra citer, par exemple, les invasions d’Irak et de Lybie. Ces agressions barbares, fondées sur des mensonges, ont malheureusement été présentées comme des guerres justes. Aucune sanction, aucune condamnation, aucune exclusion n’a été prononcée contre les agresseurs. Il en est de même des bombardements massifs, par l’OTAN, des cibles serbes durant la guerre du Kosovo, du 23 mars au 10 juin 1999 !). Une solution harmonieuse pourrait être apportée au conflit ukrainien, en conférant le statut particulier d’un « Condominium » aux territoires sécessionnistes disputés du Sud-Est et Kiev, avec une force internationale « neutre » d’interposition et le retrait de la Russie et de l’Ukraine des zones occupées (en dehors de la Crimée) et avec l’autodissolution des alliances politico-militaires particulières (en commençant par l’OTAN), dans une perspective mondiale et une approche holistique, sans brader l’intégrité territoriale de l’Ukraine. Comme nous l’avons écrit dès le déclenchement de la guerre civile entre les pro-russes et les pro-européens, il faudra tenir compte, dans le règlement du conflit ukrainien, du fait que, si Kiev négocie l’intégration de l’Ukraine à l’Union Européenne et à l’OTAN, les territoires du Sud-Est – qui, du reste, ont fait sécession – sont historiquement, géographiquement, sociologiquement, culturellement, linguistiquement, industriellement, économiquement et commercialement tournés vers la Russie.

 

 

 

La paix entre israéliens et palestiniens est tout à fait possible, à condition qu’elle soit recherchée, sur des bases égalitaires et sans parti-pris, dans une perspective mondiale et une approche holistique, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale », autour du « bon diagnostic » dans la problématique de la recherche de la paix, en insistant sur le fait que le conflit israélo-palestinien va au-delà du Hamas et de l’actuelle guerre avec le Hezbollah et – par le fait même – avec l’Iran ! 

 

Les sanctions, la force, la violence et la contrainte ne peuvent pas rétablir l’harmonie là où elle ne règne plus ! La militarisation à outrance de la planète, la logique irrationnelle de la force ne pourra que conduire la collectivité humaine à un suicide collectif, dans une apocalypse nucléaire.

 

Le terrorisme est plus une « conséquence » qu’une « cause ». Il ne peut donc être vaincu dans une « guerre », avec l’outil militaire, quelques soient la performance des « forces spéciales » et l’efficacité des services d’intelligence et de renseignements. Mais, malheureusement, nos leaders politiques, nos stratèges qui tiennent à gagner les guerres ne l’ont toujours pas encore compris !

 

Le terrorisme doit être combattu en nous attaquant à ses racines, dans une perspective globale. Même si on arrivait à décimer tous les membres de tous les groupuscules séditieux qui écument la planète et à « incarcérer » tous les « terroristes » potentiels, le terrorisme n’aura pas pour autant été vaincu, tant que les vrais problèmes n’auront été résolus à la base, à partir de leurs racines.

 

Seule, une solution politique globale « juste » à la question palestinienne – même simplement sur le papier d’abord – permettra aux israéliens et à la diaspora juive de vivre en sécurité et en paix et d’obtenir la dissipation de l’antisémitisme, avec, automatiquement, la cessation des hostilités entre l’État d’Israël et le Hezbollah et une accalmie dans le conflit latent qui les oppose aux pays musulmans de la sous-région et du reste du monde, avec – en outre – le retour, en toute quiétude, de la population au Nord d’Israël. La dissipation de l’antisémitisme ne pourra advenir simplement avec des manifestations et la moralisation des gens, tant qu’une solution politique globale « juste » n’aura été apportée à la question palestinienne ! Quelles que soient la hauteur de leurs murs de sécurité, l’étanchéité de leurs frontières, la fiabilité de leurs batteries antimissiles, l’ampleur de leurs arsenaux militaires et nucléaires, la vigilance de leurs forces de police, la performance de leurs « forces spéciales » et l’efficacité de leurs services d’intelligence et de renseignements, les israéliens ne seront jamais à l’abri des surprises, devant la détermination et l’imagination, sans limites, des palestiniens qui se disent opprimés et humiliés, comme on l’a vu avec la débâcle de Tsahal, face aux actes terroristes du Hamas du 7 Octobre de l’année dernière ! Même s’ils arrivaient à éliminer tous les « résistants » palestiniens (comme ils se qualifient, eux-mêmes, eux qui, avec le manque de perspective, recourent, dans leur désarroi et leur ras-le-bol – devant l’inaction de la « Communauté dite Internationale » – à la violence, au « sabotage » et même aux actes terroristes, comme on l’a vu avec tous les mouvements de libération à travers l’histoire. Ce qui, malgré tout, est tout à fait condamnable), les israéliens ne seront jamais en sécurité, tant qu’une solution juste et harmonieuse n’aura été apportée au conflit qui les oppose aux palestiniens. Il naitra, chaque fois, après chaque riposte, de nouvelles générations de « résistants », de plus en plus déterminés à agir, pour libérer – par tous les moyens, avec même, certainement, des actes terroristes – leur peuple du joug israélien ! Même s’il faut parler de « terrorisme » stricto sensu (=au sens propre du terme), l’État d’Israël ne doit continuer à s’en servir de paravent pour recourir à la terreur, aux exactions, aux « massacres », aux destructions et à la violation des droits et des libertés, comme on le voit aujourd’hui à Gaza, après l’attaque « terroriste » du Hamas du 7 Octobre de l’année dernière, une guerre de vengeance, bien au-delà d’une légitime auto-défense, une punition collective !

 

La militarisation de la lutte contre le « terrorisme », en Israël et ailleurs, crée plus de problèmes qu’elle n’en résout ! Le Hamas est une idée, une idéologie. Le Hezbollah est, à la fois, un parti politique et une organisation militaire, sociale et religieuse. Ces deux entités ne peuvent être détruites avec les massacres des populations palestinienne et libanaise, ni avec des destructions massives à Gaza et au Liban, en réponse de l’État d’Israël à l’attaque « terroriste » du Hamas du 7 Octobre de l’année dernière et dans la confrontation avec le Hezbollah, avec, pour Israël, l’idée illusoire de créer un « no man’s land » au Sud du Liban, pour permettre le retour de la population au Nord d’Israël !  A vrai dire, la « débâcle » de Tsahal (= la « Force de défense d’Israël ») face aux actes terroristes du Hamas du 7 Octobre de l’année dernière est une preuve manifeste de l’échec total de la stratégie politico-sécuritaire discriminatoire, archaïque, barbare, non efficiente et contreproductive des « temps primitifs », pratiquée – jusqu’ici – par l’État d’Israël dans la gestion du conflit israélo-palestinien, à cause de l’ignorance, par l’ensemble de l’humanité (du moins dans l’opinion commune, au stade actuel de l’évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre »), des meilleures méthodes à appliquer dans la recherche de la sécurité et de la paix ! On ne pourrait parler, aujourd’hui, de «  victoire », pour l’État d’Israël, quel que soit le nombre de personnes tuées, quelle que soit l’ampleur de l’horreur, du désastre, des destructions et des souffrances infligées aux gazaouis, comme une punition collective ! Le monde ne pourra vraiment parler de « victoire », après la décapitation du Hamas, dont les principaux dirigeants ont été assassinés, que lorsque l’humanité, en général, et l’intelligentsia mondiale, les écoles et les universités, en particulier, auront apporté une solution politique globale « juste » à ce vieux conflit, dans une perspective mondiale et une approche holistique, sur des bases égalitaires et sans parti pris, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale » :  La solution à deux États souverains, après échange et cession des terres, sans que cet échange ne concerne Jérusalem et les personnes et sans enclaver les territoires, avec le statut particulier d’un « Condominium » pour la Palestine avec Israël, deux États tout à fait distincts qui exerceraient une souveraineté conjointe de police essentiellement dans le territoire palestinien (par des troupes mixtes, uniformément équipées), de manière à garantir, à la fois, la sécurité de l’État d’Israël dans la sous-région et l’autodétermination du peuple palestinien vis-à-vis de l’État hébreux. (Pour résoudre le conflit israélo-palestinien, les États qui assurent la médiation et, avec eux, toutes les nations, ne devront plus afficher ouvertement leur solidarité et leur soutien à l’un ou l’autre des deux camps et à ses prises de positions radicales, avant même que ne commencent les pourparlers de paix, comme on le voit actuellement, avec les alliés occidentaux de l’État d’Israël, particulièrement les États-Unis. En effet, les pays qui interviennent dans le dossier israélo-palestinien se comportent plus, actuellement, comme des alliés inconditionnels de l’un ou l’autre camp et prennent parti, proclament publiquement, haut et fort, leur alignement servile sur la politique d’un camp, au lieu d’agir comme des médiateurs et des facilitateurs impartiaux. On ne peut espérer apporter une solution harmonieuse à ce conflit avec de tels partis pris !).

 

Un des grands problèmes de l’humanité, jusqu’ici, est que nous continuons à fonder, inconsciemment, notre approche, nos stratégies et nos méthodes sur cette idée reçue et erronée, héritée du passé, qui suppose que la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique serait le mal prétendu enraciné en l’homme, dans sa nature supposée perverse, dans son cœur jugé corrompu, dans son esprit ou son mental dit déséquilibré ou bien encore dans son patrimoine génétique prétendu déficient. Il convient que nous le comprenions tous ! Le minimum d’ordre sociopolitique que nous connaissons actuellement n’est pas le fait d’une doctrine morale ou religieuse quelconque qui aurait rendu l’homme meilleur par rapport au passé. Il est plutôt dû au bouleversement spectaculaire qui s’était produit dans la manière de l’humanité de se représenter l’univers, le monde, l’être humain et la société, de façon « positive », en dehors de toute considération mythologique, métaphysique et moraliste, en commençant par les occidentaux, entre 1.500 et 1.700 après Jésus-Christ. Ce bouleversement (La « Révolution Mondiale », la « Révolution Copernicienne ») a atteint son point culminant avec Isaac NEWTON (physicien, mathématicien et astronome anglais, 1642 – 1727), pour éclore avec les philosophes des « Lumières ». En faisant la synthèse des travaux de ses prédécesseurs (parmi les plus connus, Copernic, KEPLER et Galilée), Isaac NEWTON avait présenté au monde la vision positive et scientifique de l’univers, dans cette formule lapidaire : « L’univers est un système harmonieux et rationnel, régi par des lois mathématiques de cause à effet ». C’est là le socle conceptuel du fondement philosophique sur lequel repose le progrès relatif accompli, jusqu’ici, par l’homme dans l’organisation sociopolitique des États. Contrairement à ce qu’on pense communément, ce progrès n’est pas le fait d’une doctrine morale ou religieuse quelconque qui aurait rendu l’homme meilleur par rapport au passé. Il découle plutôt de cette conception positive et scientifique de l’univers d’Isaac NEWTON. C’est vraiment regrettable que ce fait ait été si méconnu et n’ait pas été clairement souligné dans les manuels d’histoire ! Aux historiens d’agir donc, pour que tout un chacun comprenne que ce ne sont pas tellement les préceptes de la morale ni les prescrits d’une religion quelconque qui ont changé ou vont changer le monde.

 

L’être humain est et reste fondamentalement le même, en tout temps et en tout lieu. Il n’est ni meilleur ni pire à une époque de l’histoire qu’à une autre, dans un groupe social que dans un autre, dans un camp socio-politique que dans un autre. Les hommes sont tous pareils. Ils sont tous capables, à la fois, de beaucoup de bien et du pire, quel que soit le camp auquel ils appartiennent, exception faite d’une tare génétique ou d’une quelconque autre déficience, en ce qui concerne chaque être humain pris à part. 

L’effort à fournir, pour garantir réellement la sécurité et la paix à l’humanité, doit consister, non pas à faire la morale aux gens, dans l’espoir qu’ils deviennent meilleurs et respectent de plus en plus les multitudes de sanctions et d’interdits qu’on leur impose, mais plutôt à partir du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix, pour revoir l’approche et les stratégies à mettre en œuvre, en vue d’appliquer les meilleures méthodes, qui consistent, essentiellement, à identifier et à juguler les causes profondes, immédiates et lointaines, des problèmes à l’ordre du jour, en œuvrant pour que soient réunies les conditions qui doivent être satisfaites en matière d’« ordre et de désordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique, selon les cas, en ce qui concerne, aussi bien les idées et les principes, que les règles, les méthodes et les structures d’organisation à promouvoir, qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie.

Le désordre actuel du monde politique et socio-économique est un désordre intellectuel essentiellement (l’« anarchie intellectuelle », d’après Auguste COMTE), qui ne relève nullement du mal prétendu enraciné en l’homme, ni d’une quelconque faillite morale de sa part. La recherche de la paix, l’absence de paix dans le monde n’est pas tellement un problème de « politique politicienne », ni simplement de la religion et de la morale, qui auraient pour objet – comme on le pense communément – de changer la nature humaine supposée perverse et son cœur jugé corrompu. Elle est une question qui relève avant tout du domaine de la « science », c’est-à-dire du « savoir » et du « savoir-faire » de l’homme ! C’est donc à l’intelligentsia mondiale, à nos écoles et à nos universités d’agir, pour que les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique changent.

La paix est tout à fait possible, même s’il ne peut s’agir que d’une « paix relative », dans les limites du possible et dans les limites de l’humain, et non d’une « paix paradisiaque », une « paix béate et absolue ». Pour un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », condition sine qua non de l’avènement de la paix mondiale : Si le courant ne passe pas et que nous ne nous comprenons pas les uns les autres, si nous nous suspectons mutuellement, jusqu’à nous armer si lourdement les uns contre les autres, c’est parce que – au stade actuel de l’évolution de la connaissance de l’humanité – nous ne nous sommes mis, jusqu’ici, d’accord sur pratiquement rien du tout en matière d’« ordre et de désordre », ni sur le plan politique, social, économique, monétaire et culturel, ni dans la lutte contre le réchauffement climatique. L’absence de paix dans le monde ne pourrait s’expliquer par un « conflit de valeurs », entre les « bons » et les « mauvais », entre les « démocraties » et les « régimes autoritaires », comme l’affirme une certaine opinion, qui part d’une « conception binaire de la société » ! La paix véritable ne pourra réellement régner dans le monde que lorsque nous aurons réalisé un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », autour des idées générales et des principes fondamentaux qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, (1) un consensus qui soit fondé sur le « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix, (2) avec de meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde, (3) avec une doctrine sociale commune (Sans totalitarisme ni restriction sur le plan idéologique, pour pouvoir, grâce au principe de « relativité », dissiper le conflit d’idéologies qui perdure dans nos pays et dans le monde) et (4) un cadre institutionnel global, conséquent et harmonieux, accepté par tous, sous forme de ce système mondial commun de sécurité collective que sera, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », (a) un système qui ne devra être, ni un gouvernement mondial, ni une structure centralisée et pyramidale, (b) sous la « police », le moment venu, une fois les conditions réunies – dans le cadre de l’ONU – de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », pour que soit mis fin à l’actuelle guerre des monnaies, (c) en remplacement du système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète, hérité de l’époque de la « guerre froide », d’alliances politico-militaires particulières, qui doivent s’auto-dissoudre, d’elles-mêmes (en commençant par l’OTAN).

La responsabilité de la situation chaotique actuelle du monde politique et socio-économique incombe, au premier plan, à l’intelligentsia mondiale, à nos écoles et à nos universités, qui doivent, à présent, présenter aux politiques de meilleures méthodes et une autre manière, plus consensuelle, plus « civilisée » et plus apaisée d’organiser, de gérer la planète et d’administrer les différents pays.

Tout dépendra plus de l’évolution des idées, en matière d’« ordre et de désordre », que du cours des événements politiques, avec un changement radical d’approche, de stratégie et de méthodes. « Les idées gouvernent et bouleversent le monde » (Auguste COMTE). Rien, dans le cours des événements politiques de la fin du siècle dernier, par exemple, n’avait auguré pour si tôt la dissipation du rêve communiste et socialiste, la chute du mur de Berlin et la fin de la « guerre froide » et de la course aux armements entre l’Est et l’Ouest. Pour plus d’efficacité de leur action dans la marche du monde, celles et ceux qui pensent le monde devront nécessairement cesser d’être simplement à la remorque des événements.

L’intelligentsia mondiale, en général, et celles et ceux qui pensent le monde, en particulier, ne doivent donc pas se contenter de commenter et d’engager d’interminables débats sur les opérations militaires de Tsahal à Gaza et au Liban et sur le déroulé de la guerre en Ukraine, sans avancer de propositions concrètes, sans avancer de solutions alternatives à la guerre ! Ils doivent plutôt amener la « Communauté des Nations », en général, et les protagonistes au conflit israélo-palestinien et ceux de la guerre russo-ukrainienne, en particulier, (1) à partir du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix, (2) pour identifier et juguler (a) les causes profondes, immédiates et lointaines de ces conflits, (b) en même temps que les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique, en vue d’y apporter des solutions consensuelles, harmonieuses et impartiales, dans une perspective mondiale (au-delà du simple cadre moyen-oriental et européen et au-delà de la conception occidentalocentrée d’un ordre mondial à géométrie variable, avec une justice internationale à deux vitesses – Deux poids deux mesures !) et dans une approche holistique – tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation – des solutions harmonieuses qui puissent créer un climat de détente et de confiance mutuelle à l’échelle de toute la planète, sans diviser le monde et que soit mis fin au système mondial belliciste actuel de la planète, hérité de l’époque de la « guerre froide », d’alliances politico-militaires particulières, qui doivent s’auto-dissoudre, d’elles-mêmes (en commençant par l’OTAN).

Le mode de gestion actuel de l’ordre mondial et l’organisation politique et socio-économique actuelle du monde ne sont pas aussi « scientifiques » qu’on le prétend et n’auraient pas atteint le plus haut sommet de la perfection, comme on le dit. Devant les prouesses des sciences exactes et de la technologie, nous avons tendance à penser que les sciences humaines, les sciences politiques, sociales et économiques ont connu un progrès similaire ! Mais, en réalité, l’approche, les stratégies et les méthodes utilisées – par toute l’humanité – en matière d’« ordre et de désordre », dans la recherche de la sécurité, de la paix, du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique, sont encore, jusqu’ici – fondamentalement – celles de l’âge de la pierre. Pour rattraper ce retard, l’homme doit impérativement partir du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix, un diagnostic « positif », en dehors de toute considération mythologique, métaphysique et moraliste. Ce qui est essentiel est que l’humanité, en général, et l’intelligentsia mondiale, en particulier, comprennent que la connaissance de l’homme en matière d’« ordre et de désordre » évolue avec le temps, tout au long de l’histoire, à la lumière de l’évolution du « savoir » et du « savoir-faire » de l’homme, avec le progrès de la « science » et de la « technologie ». Elle ne doit donc pas être considérée comme étant définitivement « scientifiquement » établie, pour ne pas être modifiée et améliorée. C’est la texture de cette connaissance en matière d’« ordre et de désordre » qui (a) détermine notre approche, nos stratégies et nos méthodes dans la recherche de la sécurité et de la paix, en son sens le plus large, qui inclue l’« ordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique et (b) influe sur la nature de l’ordre que l’homme instaure dans le monde politique et socio-économique, à une époque ou à une autre.

  1. De la « Campagne Internationale » – Objectifs poursuivis par le projet de paix « Sortir des temps primitifs et de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial».

« Pax Universa – Maison de la Paix Universelle – Cabinet du Médecin-Criminologue pour la Recherche de la Paix » est un « Cabinet Médico-social pour la Sécurité et la Paix », un « Etablissement d’Utilité Publique », au sens de la législation de la République Démocratique du Congo-Zaïre, ayant le statut juridique d’un « cabinet médical ». Elle est une création du « Cercle Familial d’Initiatives pour la Sécurité et la Paix – Maison de la Paix Universelle » et fonctionne essentiellement à travers sa structure de base, « La Campagne Internationale pour la Paix ». 

La recherche de la paix est une quête perpétuelle qui doit être menée, dans une perspective mondiale et une approche holistique, par une action concertée de l’ensemble des personnes physiques et morales que compte l’humanité, de générations en générations, dans le vécu quotidien, (1) autour du « bon diagnostic » dans la problématique de la recherche de la paix, (2) avec un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique. 

Pour combler ce vide dans l’organisation de l’humanité, un cadre mondial de réflexion, de concertation et d’action, dénommé « La Campagne Internationale pour la Paix » est créé au sein du « Cabinet Médico-social pour la Sécurité et la Paix », « Pax Universa », en vue d’unir les « Peuples de la Communauté des Nations » autour du « bon diagnostic » dans la problématique de la recherche de la paix et les placer au centre de la démocratie planétaire et de la marche du monde, au cœur de la gouvernance mondiale, dans un cadre tout à fait « neutre », loin des rivalités, des prétentions et des pesanteurs nationalistes des institutions intergouvernementales, en dehors de toute emprise sectaire des pouvoirs politiques, économiques et religieux. 

Dans ce contexte, outre son objet initial qui consiste, en un premier temps, à amener les « Peuples de la Communauté des Nations » à rédiger et à adopter ce document commun de référence et d’orientation, non contraignant, en matière d’« ordre et de désordre » que sera la « Charte Mondiale pour la Sécurité et la Paix », « La Campagne Internationale pour la Paix », structure de « Pax Universa », tient lieu de « Cadre Mondial de Réflexion, de Concertation et d’Action pour la Sécurité et la Paix », à travers lequel vont dialoguer, débattre et agir, de manière concertée, tous les membres de l’« Espèce humaine » – là où ils sont – de générations en générations, librement et sans contrainte, sans cartes de membres répertoriés ni une quelconque inscription préalable. Ils pourront ainsi partir des mêmes bases et suivre, de manière consensuelle, les mêmes repères, autour d’un diagnostic partagé, pour la recherche continue de la paix, en son sens le plus large, qui inclue l’« ordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique, (a) la paix étant comprise avant tout comme un problème « scientifique » de santé publique à part entière, dans une approche globale qui inclue – comme le veut la définition de l’OMS – aussi bien l’aspect physique et mental de la santé que son aspect social, (b) dans ce « terrain neutre » qu’offre « Pax Universa », (c) loin des rivalités, des prétentions et des pesanteurs nationalistes des institutions intergouvernementales, (d) en dehors de toute emprise sectaire des pouvoirs politiques, économiques et religieux, (e) dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale ». 

Les membres de l’« Espèce humaine » de toutes les nationalités, de toutes les croyances religieuses et de toutes les convictions philosophiques et orientations politiques agiront ensemble, à travers cette structure de « Pax Universa » qu’est « La Campagne Internationale pour la Paix », dans la « tolérance », le « dialogue » et la « recherche permanente de consensus » ou – tout au moins – d’un « modus vivendi », sans sectarisme aucun. Ils interviendront, (1) d’abord, de manière ponctuelle – du moins pour nos contemporains – dans le cadre du débat mondial organisé sur ce projet de paix, pour la rédaction et l’adoption de la « Charte Mondiale » et (2) agiront ensuite, indéfiniment, de générations en générations, dans le vécu quotidien de chacun d’entre eux et dans l’exercice de leurs fonctions, à travers leurs prises de positions, leurs choix, leurs propos, leurs suggestions et leurs agissements, à l’intérieur de leurs pays respectifs et dans les instances internationales. 

Dans cette recherche continue de la sécurité et de la paix, les « Peuples de la Communauté des Nations » auront, à la base, (1) dans le cadre de « La Campagne Internationale pour la Paix », (a) la « Charte Mondiale pour la Sécurité et la Paix », comme document commun de référence et d’orientation, non contraignant, en matière d’« ordre et de désordre » et (b) la « Confédération Universelle des Ordres Professionnels et des Corps de Métiers pour la Sécurité et la Paix », comme leur organe central de concertation et de coordination dans la démocratie planétaire et la marche du monde, avec, (2) dans le cadre de l’ONU, ce système mondial commun de sécurité collective que sera l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », (a) un système qui ne devra être, ni un gouvernement mondial, ni une structure centralisée et pyramidale, (b) sous la « police » – le moment venu, une fois les conditions réunies – de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel®  », (c) en remplacement du système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide, (3) pour permettre à l’humanité de poser véritablement les bases d’un monde écologique libre (mais avec des hommes et des femmes responsables), un monde uni, pluriel, multiculturel et tolérant, une société planétaire solidaire, prospère, pacifique et harmonieuse, tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation. 

« Pax Universa » n’est pas une organisation sectaire qui recruterait des membres répertoriés en son sein. Les seuls membres répertoriés sont le personnel d’appoint du « Cabinet » et les membres du « Conseil Académique mondial pour la Sécurité et la Paix ». En effet, la recherche de la paix ne se réduit pas à l’action des activistes et chercheurs étiquetés. Elle doit être menée par une action concertée de l’ensemble des personnes physiques et morales que compte l’humanité et se matérialise réellement dans le vécu quotidien de chaque membre de la collectivité humaine et dans l’exercice de ses fonctions, aussi bien dans son pays que dans les instances internationales, à travers ses prises de positions, ses choix, ses propos, ses suggestions et ses agissements. Tout être humain peut, par le seul fait d’être membre de l’« Espèce humaine », avancer des suggestions, faire des remarques, poser des questions et même proposer tout à fait autre chose que ce que soutient « Pax Universa » sur l’un ou l’autre point, sans devoir entrer en dissidence, comme ce serait le cas dans les associations traditionnelles qui enrégimentent les gens.

Ce projet de paix – nous le reconnaissons – n’est pas parfait et comporte des lacunes. Nous attendons les questions, les remarques et les suggestions des citoyennes et des citoyens du monde pour l’améliorer (E-mail : contact@paxuniversa.org). Les sommités du « monde académique » de n’importe quel domaine de la science qui veulent apporter leur expertise à l’humanité, dans le cadre du « Conseil Académique Mondial pour la Sécurité et la Paix » – structure qui va assurer la supervision scientifique de « La Campagne Internationale pour la Paix » – sont priées de contacter « Pax Universa » par un courriel. Une fois constitué, cet organe va, en un premier temps, intervenir aux différentes étapes de la rédaction de la « Charte Mondiale pour la Sécurité et la Paix », jusqu’à son adoption par les délégués des « Peuples de la Communauté des Nations », issus des corporations, ordres professionnels et corps de métiers de la planète, réunis en un congrès, le « 1ier Congrès Mondial pour la Sécurité, la Paix, la Démocratie et le Développement ». Une fois constitué, le « Conseil Académique Mondial pour la Sécurité et la Paix » – qui va assurer la supervision scientifique de « La Campagne Internationale pour la Paix » et sera composé des sommités du « monde académique » de n’importe quel domaine de la science – interviendra, en un premier temps, aux différentes étapes de la rédaction de la « Charte Mondiale pour la Sécurité et la Paix », jusqu’à son amendement et son adoption par les délégués des « Peuples de la Communauté des Nations », issus des corporations, ordres professionnels et corps de métiers de la planète, réunis en un congrès, le « 1ier Congrès Mondial pour la Sécurité, la Paix, la Démocratie et le Développement ». L’adoption de cette charte va arrêter le principe d’institution, dans le cadre de l’ONU, de ce système mondial commun de sécurité collective que sera l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », en même temps que celui de l’usage, dans le cadre de l’ONU – le moment venu, une fois les conditions réunies – par les peuples de tous les pays, de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », pour que soit mis fin à l’actuelle guerre des monnaies.